Chansons maçonneuses Suivante
Sur l’air de “je suis malade” de Serge lama
Paroles de Julio
Je ne rêve plus / je n’écoute plusJe ne suis plus qu’un / toquardJe suis mal sans toi / je suis nul sans toiJe suis comme un vieux balai / dans son placardJe n’ai plus envie / d’attendre minuitPour moi c’est déjà / trop tardT’avoir tant serré / comme un crucifixJe ressens comme un poignardEntre les doigtsJe suis malade, complètement maladeComme quand sitôt sorti du noirJe me suis découvert tout nu / dans le miroirJe suis malade, / parfaitement maladeJe t’ai perdu je ne sais quand /En quel Orient je ne sais où /Je ne peux plus faire pan pan pan /Et tu t’en fousTu as sublimé / les voûtes d’acierQui accompagnaient / mes pasQuand le cœur battant, / la gorge serréeJe déroulais à l’Orient / mon tralala |
Je bois / toutes les nuits/ dans ma soulerieJ’entends frapper tes trois coupsÇa me fait boum boum je pleure comme un clownJe ne me reconnais plus Je suis à boutJe suis malade, / complètement malade/Je ne sais plus écrire de plancheje ne peux plus entre mes doigts / serrer ton mancheJe suis malade, parfaitement maladeSans toi je n’ai plus d’ambitionTu m’as privé de mon cordonPourtant moi / j’me voyais Véné /encore longtempsTa perte me tue, si ça continueJe crèverai seul / sans toiAu bas du plateau, comme un rigoloGémissant comme un fada / sous le deltaJe suis malade, complètement maladeComme quand sitôt sorti du noirJe me suis découvert tout nu (con) / dans le miroirJe suis malade, c’est ça je suis maladeSans toi je ne peux plus cognerPour marquer mon autoritéEt j’ai le cœur complètement / maladeJe suis dans la panade… maillet ! je suis malade |