D’abord, d’abord, y a la Véné

Qui est laide comme une guenon

Avec son petit maillet

Ses trois poils au menton, mes FF.

Tellement qu’ell’ s’croit

Elle redescendra plus

10 ans qu’elle se pose là

Bien calée sur son cul

À faire suer l’apprenti

Et péter dans la soie

Sitôt passé Minuit

Avec des tas d’frangins
Qu’on retrouve tous éteints

Au fond d’la salle humide

Étreignant sur leur bide

Leurs décors de théâtre

Et roupillent avachis

Sous le gros œil de plâtre

Faut vous dire, mes FF.

Que dans cet’ loge là

On ne rêve pas, mes FF.
non non non non

On ne rêve pas… on pionce !

Et puis il y a les autres

L’Orateur, qui n’dit rien

Mais qui veut faire la loi

Et l’Couvreur glaive en main

À la lourde il se vautre

Et d’leur estrade en bois

Y’a les deux pions d’service

En tête des colonnes

Qui font rire les novices

Et s’foutent que ça déconne

Et ça fait des Hi hi hi

Et ça fait des Ha ha ha

Puis y’a l’Véné d’honneur

Qui veut pas décrocher

Et qu’on n’écoute même pas

Et qu’on laisse radoter

Vu qu’c’est lui qui a les clés

Des at’liers supérieurs

Faut vous dire, mes FF

Que dans cet’ loge là

On n’grimpe pas, mes FF.

On n’grimpe pas, on reste