L’humour, le canular, la dérision, la farce, comme moyens d’action militante et d’éveil des consciences… | |
Le Blasphème de Clovis (Pied de nez au Baptême de Clovis) La GLDMS (Grande Loge des Maçons séparés) Le Legs Fuzier (Comment un fonds maçonnique bidon a fait marcher une loge) La Saint Verhaegen (Comment un FM, fervent laïque, est devenu un Saint) Le Palladisme (Comment ne pas évoquer Léo Taxil, ancien F. passé à l’anti-maçonnisme ?) Confrérie des Chevaliers du Taste-fesses (Hommage à Léo Campion) Nains de jardin maçons 1er avril 2024 (Création de l’Office de Bouffon) |
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L’efficacité des bouffons est-elle à démontrer ? Aristophane, Rabelais, Molière, Charlot, Desproges, Coluche, etc… contrairement aux censeurs qui critiquent les opinions des autres, eux, ne font qu’en rire. Et c’est cela qui dérange… qui dérange les puissants aussi bien que les braves gens -ceux que chante Brassens- qui les adulent. Seuls les bouffons du Roi auraient-ils vocation à l’ironie et à l’impertinence ? N’est-il pas rassurant que ce soit une académie “royale” qui ait consacré le bouffon Dario Fo (Prix Nobel de littérature 1997) ? Même si le bouffon n’est pas dénué de quelque orgueil, ce n’est pas pour lui-même qu’il prend des risques, mais pour les causes qui lui sont chères; à l’exemple de Cyrano, qu’Edmond Rostand affuble -et ce n’est pas par hasard- d’un nez de bouffon : “Je me suis battu, madame, et c’est tant mieux, Non pour mon vilain nez, mais pour vos beaux yeux”. Mais ne jamais oublier de rire d’abord de soi-même, car comme dirait Pierre Dac: ” Bien heureux ceux qui savent rire d’eux-mêmes, ils n’ont pas fini de s’amuser !” |