Chansons maçonneuses Suivante
Sur l’air de “Bambino” de Dalida
Paroles de Julio
Plein le dos, plein le dos, j’en ai vraiment plein le dos***Tu es perdu tu te sens triste pourtant tu l’aimesTu n’y es plus n’empêche que t’y reviens quand mêmeT’es en tenue mais te tiens comme une âme en peineEt tous les soirs sur ta colonne tu broies du noir***Ah ! les planches bassinantes / plein le dos, plein le dosEt les discours convenus / plein le dos, plein le dosEt les joutes récurrentes / plein le dos, plein le dosQui nous plombent les tenues***Quand à l’O/rient au plateau / se / cramponnentDe drôles de zigotoOn se dit sur les colonnesQu’on en a Vraiment plein le dosQuand à l’O/rient se la jouent/ et/ bouffonnentDe tristes père-UbuOn se dit sur les colonnesQu’on en a Vraiment plein le dos |
Ah ! les planches bassinantes / plein le dos, plein le dosEt les discours convenus / plein le dos, plein le dosEt les joutes récurrentes / plein le dos, plein le dosQui nous plombent les tenues***Pourquoi pleurer sur ce qui te chiffonneSi t’en as plein le dosCar tu as bien mieux à faire que d’chialer sur tes misèresPourquoi rester dans ton coin faire la trogneSi t’en as plein le dosTu peux rire tant que tu veux, tout n’est pas à prendre au sérieux***Le doigt de l’omni-sci-ence /plein le dos, plein le dosQui veut dicter le chemin/ plein le dos, plein le dosOn peut se le mettre où j’pense /plein le dos, plein le dosIl f’ra bien moins son malin***Et là malgré tes espoirs et rêves déçusRis un bon coup, ne montre plus qu’t’en as plein le dos |